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Moins de spiritueux québécois à la SAQ : quels impacts pour les distillateurs québécois?

M. Dussault tient deux bouteilles de gin dans ses mains.
Pierre-Luc Dussault, ancien député, est maintenant un entrepreneur.PHOTO : Radio-Canada / Christine Bureau
Publié le 25 avril 2024

Le propriétaire de la distillerie Mc Manamy à Sherbrooke, Pierre-Luc Dusseault, réagit à la volonté de la SAQ de retirer des gins québécois des tablettes.

Un tiers des produits ne fait que 5 % des ventes dans les Société des alcools du Québec de la province. Pour le propriétaire de la distillerie, ce n'est pas un phénomène nouveau de retirer les produits qui se vendent moins des tablettes des commerces de détail.

Pierre-Luc Dussault dit accueillir cette nouvelle mesure en partie positivement, mais aussi avec beaucoup de préoccupations.

Selon lui, en retirant les produits qui se vendent moins, il y aura plus de place sur les tablettes.En libérant l'espace, j'espère bien que cela fera de la place pour mes produits.

Il se dit toutefois préoccupé que cette nouvelle mesure creuse l'écarte entre les bouteilles déjà bien connues du public et celles qui tentent de faire leur place dans le marché.

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